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26 mai 2006

Ma vie en poème...

 

C'est la vie que l'on m'a offerte.

Il nacquis un matin de pluie,

dans un lieu au milieu des arbres.

c'etait un jour des morts, ironie,

alors c'est ca la vie...un froid de marbre.

Il avait dejà pris la precaution,

naitre assez tot pour ne pas deranger papa.

il ouvrit les yeux dans l'hesitation,

et alors il pleura pour la première fois.

Dans ses premiers mois, le sort s'acharna,

un mal se declara en lui, bienvenue.

Une maladie qui le rongeait lentement s'annonça,

il aurait du périr si le mal l'avait vaincu.

La chance ou la malchance s'en mêla,

il fut sauvé une nuit, le mal était retiré de ses entrailles.

Le garçon doucement se releva et continua,

il portait les marques de son peril où qu'il aille.

Le vie prit son cours et emporta le rescapé,

il apprenait à vivre avec de nouvelles douleurs.

Un père qui dans son esprit le torturait,

qui le frappait lorsque il semblait être l'heure.

De quoi se plaindre en ces moments,

il avait sa place , il l'aimait malgrè l'oubli.

se dressa alors l'ombre du père terrifiant,

c'est ainsi que vivait la famille meurtrie.

C'etait un garçon simple parmis d'autres hilares,

on se moquait de sa difference, des reproches d'enfant.

Sourd aux insultes et aveugle aux regards,

pourquoi donc avait-il oublié d'être prudent?

Au debut de sa dizième année, c'etait un jour radieux

le père, sous ses yeux jeta ses frères dans la rue.

Pour la première fois il du faire un adieu,

ses frères qui seuls le soutenaient lui étaient perdus.

Il souffrit de ces temps de solitude ou il était,

ou étaient ceux qu'il aimait et oubliait, ils herrent.

Au crepuscule de cette periode tout changait,

la famille fini de se desagreger sous la coupe du père .

La mère s'enfuit un matin au froid mordant,

le père était partit trimer, il fallait s'enfuir, oublier.

Elle emena avec elle ses deux enfants restants,

Elle leur dit que leur père était desormais un etranger.

Le garçon fut bien le seul à en pleurer ce jour,

il pleurait ce père qui l'obligait à mentir.

Mentir, inventer pour justifer toujours...

ces bleus, ces blessures sur un visage sans amour.

Le père devint un inconnu comme on lui avait promis,

les années passèrent sans qu'il reconnu celui qui le meurtrissait.

La partie paternelle de la famille était resolue, elle le renie,

peu importe, il continuait, il vivait, il esperait...

Il voulu enfin changer et y parvint dans l'effort,

"l'autre" pris une importance et cru connaitre le bonheur.

Ce furent de belles années, tout le monde avant tort,

le passé encore le rattrapa et lui montra sa douleur.

Des souvenirsqui tombèrent sur ses épaules fragiles,

comme un fardeau qui jamais plus ne les quittera.

Il est si facile de succomber aux entraves si villes,

il perdu ce qu'il avait appris à vivre, qui le prendra par le bras?

Fourbu de desillusion il s'employa à se terrer,

dans son asile on ne venait pas le toucher sans peine.

c'est ainsi qu'il nous parvint impassible comme un reflet,

essayant de vivre dans se monde où on l'a jeté.

Devenu lâche, égoïste et renfermé mais lui-même,

il sait qu'il vivra encore prisonnier de sa liberté.

Ne vous retrounez pas, il cherche la lueur qu'il aime,

peut-être aura-t-elle la malchance de se presenter.

FIN.

(humm...ma vie dans sa verité, un peu narcissique de raconter ça nan? Quoiqu'il en soit, j'interdis pour ce poème tout com' qui pourrait tendre à essayer de me contredire dans mes propos car je suis quand meme le principal interessé... (un mesure pour eviter que l'on me croit modeste pour se faire d'autant plus complimenter-_-)

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20 mai 2006

La loi que tu dois suivre.

la loi que tu dois suivre...

Tu as cru jadis en toi, temps perdu;

qui a diagné te voler ton courage, un inconnu?

Desormais, tu vis la tête baissée, ouvres les yeux;

pourquoi ne te leves tu pas, c'est ton voeux?

Le courage à fuit hors de toi, c'est fini;

que reste-il sinon l'amertume, l'âme d'un banni?

Toujours cependent sous la coupe du coeur, ce tyran,

prisonnier volontaire, il te torture le flan.

Croire en beaucoup, sauf en toi, c'est ainsi;

laisser derrière toi les maux, marches dans l'oubli.

Ranges toi sous l'etendard que tu as refusé;

abandonnes toi à la peur, tu dois l'affronter.

Elle se tient devant toi, regardes la;

ne tournes pas le dos ou maudis tu seras.

Non, ne regrettes pas ta dignité perdue;

lèves toi, souris à ton sort qui se tue.

FIN.

(Un mini-poème que je pourrais m'adresser, nullement élégent mais veredique.^^)

20 mai 2006

"Oui, s'il y avait ici de quoi se vanter.

"Oui, s'il y avait ici de quoi se vanter. Mais feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce qu'on ignore; entendre ce qu'on ne comprend pas, de ne point ouïr ce qu'on entend; surtout de pouvoir au-delà de ses forces; avoir souvent pour grand secret de cacher qu'il n'y en a point; s'enfermer pour tailler des plumes; et paraitre profond quand on n'est, comme on dit, que vide et creux; jouer bien ou mal un personnage, répandre des espions et pensionner des traitres; amollir des cachets, intercepter des lettres, et tâcher d'ennoblir la pauvreté des moyens par l'importance des objets: voilà toute la politique, ou je meure."

beaumarchais dans le mariage de Figaro, Acte 3, scène 5.

20 mai 2006

Eveil...

Eveil...

Allongé, sans bruit toute la vie,

je reste toujours éveillé, pourtant pas d'ennui.

Aucun repos, le sommeil m'est refusé,

j'ai pêché, de trop de honte mon coeur est chargé.

Je m'adresse à toi morphée, laisses moi m'en aller,

oublier un moment, donnes moi cette bonté.

Laisses-moi m'échapper, appaises mes yeux clos,

espoir dechiré, la paix me tourne le dos.

Je sais avoir tort, on m'abandonne à mon sort,

il suffit de partir, mais je ne suis pas assez fort.

Regardes moi, c'est là ce dont tu es responsable,

trop faible pour me denoncer, je suis coupable.

Cherchant dans mes songes un peu de reconfort,

c'est trop tard, dejà je vois poindre l'aurore.

Avec le jour, la voix se lève dans ma tête, debout,

aujourd'hui encore tu souffriras en triste poète.

FIN.

20 mai 2006

ces mots là...

Ces mots que l'on ne parvient pas à prononcer... Bien-sur je n'étais pas certain, je ne le suis pas davantage aujourd'hui mais j'ai osé l'ésperer, je l'espère encore. Je suis égoïste; que lui apporterais-je? Rien...mais je lui prendrais beaucoup de choses probablement. Je ne sais rien d'autre que ce qu'elle daigne me dire; l'esperance me pousse à écouter ce qui ne sort pas de sa bouche...Elle parle de "lui" oui, pourquoi mon coeur me fait-il souffrir lorsque j'entend un "lui" et non un "toi"? Je ne me plains pas directement; j'ai mal, je souris... Quel homme je fais, un enfant me vaut bien.

Toujours le mystère l'entoure,

que se cache-t-il sous ses atours?

Une âme tourmentée, mouvementée,

elle reste calme à la surface montrée.

Mes éspoirs toujours m'abusent,

je ne vois rien, je désire voir la muse.

Pourquoi alors nourrir le mal qui me ronge,

rien n'y fait, je suis prisonnier, je vois rouge.

  Elle se contente d'être là, je devrais dejà l'en remercier autant qu'il est possible. Mes yeux dans le vague, sans visage sur lequel se poser, je me refuse à quitter mes illusions. Tous les jours je lui souris sans qu'elle le voit, un regard qui jamais peut être ne se tournera vers moi. A personne d'autre que moi je ne peux le reprocher, je n'ai que ce que j'ai cherché...

Peut-être ma chance est-elle passée

je l'ai alors bien manqué, suis-je damné?

Tiraillé par ma profonde lâcheté,

je regrette alors les beaux jours passés.

Les retrouverais-je un jour? je pris agenouillé,

interessé, je demande aux dieux de m'épargner.

peu importe qui sont-ils, pourquoi;

je n'éspère que ces mots de toi...pour moi.

  J'aurai du faire ce que je n'ai pas eu le courage de faire dans le passé, je cherche un signe. Me le donnera-t-elle? Serais-je alors assez brave pour le saisir? Me montrerais-je lâche encore? Je me maudirais moi-même , je n'aurais plus rien à esperer de l'avenir. Le mérite m'en revient, le mal est fait. Je reclame une seconde chance que je n'ai pas merité; c'est ainsi que je vis ou essaye de vivre.

Mon coeur bat, je devrais m'en satisfaire,

pourquoi en souffrir tant, j'en desespère?

Il me fait mal, je me fais mal, ma seule vertu,

sans lui, je ne serais qu'un animal perdu.

Je ne suis que moi, privé de courage,

pardonnes moi, je ne t'ai pas rendu hommage.

Mon sentiment est là enfouit, pourrais-je le mettre au jour,

la question qui me tourmente, elle se nomme "amour".

La douleur gagne mon visage,

j'aimerai le cacher sous l'orage.

Plus aucun repis, je suis prisonnier,

c'est toi, restes avec moi mon goêlier.

N'as-tu jamais pensé au courage qui me manque?

Peut-être le volerai-je, tu me manques...

Cette larme qui coule sur ma joue est tienne,

seule ta main pourra l'arrêter, c'est le torrent de ma peine.

  Fin....pour l'instant. (Juste un écrit...réalisé d'une lancée, sans m'arreter. Comme une amie me l'a dit, on se soulage en écrivant alors voilà une partie de ce que j'ai sur le coeur... desolé de polluer...mais c'est mon blog alors je fais ce que je veux :p Ce fus le texte que j'ai eu le plus de facilité à ecrire, comme s'il n'attendais qu'à être accouché sur le papier; mais aussi le plus difficile à publier... Pardon à ceux qui en aurait besoin, merci aux autres...

  Pour le reste, je me suis rendu compte que je publis des textes me touchant personnellement et d'autres simplement des inventions. Serait-il judicieux que je crée une rubrique de plus pour differencier les textes inventés de ceux qui ont rapport avec ma vie, nan? je laisse les personnes qui ont assez de temps libre pour venir ici repondre... (une bonne technique de marketing pour faire mettre des commé ca nan? :d) )

Ces mots là...

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20 mai 2006

mal...

mal...

Encore récemment une "amie", si je peux la nommer ainsi, s'en voulait d'être émue, touchée par des évennements bien peu importants. Que puis-je dire en cet instant, moi qui me vois dans l'état où je suis? Je mouille de mes larmes la feuille de papier sur laquelle j'écris ces mots, en ce moment. Je peine à distinguer les mots qui prennent vie sous ma plume tant mes yeux sont enbuhés, emplis des flos de ma tristesse. Et pourquoi toute cette douleur qui m'accable? Toujours la malchance semble me poursuivre et la bonne fortune me fuir. N'ai-je pas droit à une bonne étoile autant qu'un autre?

Certainement je ne suis pas la victime d'une malédiction mais sans apprecier les moments de confort je redoute le mauvais sort. Si seulement je gardais les souvenirs qui me sont chers comme j'ouvre les yeux sur la peine... Les choses se montraient sous un jour agréable, le temps était aux promesses, j'apprennais, j'aimais même; mais tout a disparu devant un châtiment qui tombe. L'ordinateur ne fonctionne plus, la partie du monde que je perçevais à travers lui se ferme à moi, plus rien; je suis presque seul. Le monde n'est pas derrière l'écran mais à mes côtés, parfois même cet écran m'est repoussant; pourquoi ai-je si mal dans ce cas? J'ai cru perdre mon moyen d'être ici, le pouvoir de sourire à ces mots qui me touchent et c'est l'émotion qui me gagne; l'amertume qui m'envahit. Est-il possible de tant tenir à une fenêtre ouverte? Ma stupidité me contraint à dire oui; je pleure du hasard m'éloignant d'une machine. Une peur que je ne pensais plus ressentir m'a serré le coeur au point d'y insuffler la douleur dans mes veines. Cette machine c'est la porte que des personnes daignent m'ouvrir, c'est le lieu de mes liens; je n'ai pas si tord de me tourmenter de sa perte, de ma perte... Je ne suis pas dépendant de la machine, c'est autre chose. Une émotion que j'ai peur de ne plus ressentir, je sais le mal que j'ai cru devoir toujours subir. Je sais les raisons de ces larmes. Je ne veux plus de cette absance...

20 mai 2006

Obscurité.

obscurité

Tu es toujours là, tapie

où que l'on soit, tu vis

indéfinissable, sans essance

insaisissable, sans consistance.

Tu intrigues et plus tu fascines

estimée, le lieu des libertines

souvent l'objet des peurs

toujours presente lorsqu'est venue l'heure.

Pour les uns tu es effrayante

pour les autres tu es pour le moins rassurante

accordant ta protection sans retour

tu es recherchée pour tes atours.

En ton sein on oublit ce qui touche

on oublit ce qui menace et effarouche

bien-sur j'en ai besoin, caches moi

rassuré, je retrouve alors la foi.

Invisible mais sensible à ma voix

je suis en toi, tu es en moi

gardes moi sous ta voûte

restes ma confidente, tu m'envoûtes.

Le jour se lève, la lumière approche

elle te chasse sans reproche

tu fuis, me voilà noyé de clarté

tu m'abandonnes, toi l'obscurité...

FIN.

20 mai 2006

des fois...

Des fois...

on pense être sans dieu ni loi; simplement là, seul. Parfois même on se sent abandonné, reclu et venu d'un autre monde. Tout se passe comme si nous etions etranger à tout ça; comme si...nous n'etions pas fait pour la réalité et on se refugie dans un monde imaginaire ou on endure ce qui se presente à nous sans sourcillier. Je ne suis pas courageux, ce que la realité me montre me fait peur parfois, si peur que j'en garde une inquietude dans mon coeur et qui se montre quand je suis seul. On n'a plus goût à rien, plus rien ne nous attire et on ne s'attache à rien. C'est difficile à vivre bien-sur, mais dans ces cas là on existe simplement. On subit, on ressent, cela devrait nous rassurer; nous sommes bien vivants!

Notre propre famille apparait bien morne, nos amis se révèlent moins proches que l'on avait coutume de le penser. Certains disparaissent et apres la peine, plus rien n'est ressentit. l'indifference... C'etait un ami celui que je vois s'eloigner? Pourquoi son souvenir perd son importance, son emotion comme s'il devenait sans vie? On dirait qu'il nous echappe sans qu'on ait le pouvoir de l'arreter; à croire qu'on ne l'a jamais vraiment connu, c'est un etranger dont je connais le nom. Et puis un jour...des fois; on s'apperçoit soudainement qu'un être compte davantage que les autres. On ne voyait qu'une personne parmis d'autres, avec laquelle on s'entend, on se comprend et qui...subitement prend un autre sens! Une lueur au milieu de la pénombre et on n'est attiré à sa suite, on la suit... Un lien qui semblait dejà tissé se montre et on n'a d'autre envie que de le renforcer, de le proteger. C'est la solitude dans laquelle on s'etait enfermée qui recule chassée par la lueur; on oublit tout et on avance. On vit comme avant, rien n'est grave ici! Voilà que j'oublis mon inquietude l'espace d'un songe, le temps de contempler le lien. Ce n'est pas grand chose mais on n'y tient beaucoup...c'est s'emouvoir un instant et aimer se sentir de nouveau soi. Tu le ressens aussi qui que tu sois? La vie n'a pas si mauvais goût lorsque l'on la regarde les yeux humides.^^

(Heu...c'est moi qui ait ecrit ça?! Bon ben je risque rien vu le nombre de mes visiteurs hein! :d C'est peut-etre un texte qui n'a de sens que pour moi mais chacun peut y trouver son interpretation s'il n'a rien de plus productif à faire! lol)

20 mai 2006

Du soleil à la lune.

Du soleil à la lune.

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J'ouvre les yeux sur le monde

ma vue de lumière s'innonde.

La lueur n'est pas douce à mon regard

la clarté me brûle sans fard.

Le jour m'est à jamais volé

moi qui suis condamné à rester caché.

je porte le masque du mal

et supporte mon sort sans un râle.

La vue du soleil m'est bannie

je suis devenu le fils de la nuit.

La vie qui m'est ainsi octroyée

je la confie à l'obscurité.

J'appartiens au pays sombre

moi qui m'habille de pénombre.

Puisque l'aurore me tourmente

la lune sera ma confidente.

FIN.

(Un 'tit texte sans pourquoi ni comment; juste une envie... )

20 mai 2006

Maintenant.

Et maintenant me voila actuellement...-_- peur hein?! :p comme je vous comprend! (calvicie un peu accentuée par le soleil certes mais au moins ca predit l'avenir...et on peut pas dire que je me montre sous mon meilleur jour! mdrr) mdr C'est le grand malheur de ma vie...moi qui est maniaque des cheveux....m'enfin, il faudra bien que je vive avec hein... certains ont plus de dents, d'autres rien dans le cerveau, d'autres encore ont un visage hideux...ben moi j'ai une calvicie precoce et bientot les cheveux tres courts...

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